Valentin Heinrich ; Clémence Snyman - Cap(s) de Bonne espéranCe ? Entre fierté et culpabilité, transmission et déconstruction : les formes d'expatriations identitaires afrikaner post-apartheid

societes-plurielles:8411 - Sociétés plurielles, 31 août 2021, 5 | 2022 - S'expatrier - https://doi.org/10.46298/societes-plurielles.2021.8411
Cap(s) de Bonne espéranCe ? Entre fierté et culpabilité, transmission et déconstruction : les formes d'expatriations identitaires afrikaner post-apartheidArticle

Auteurs : Valentin Heinrich 1; Clémence Snyman

  • 1 Observatoire de l'art contemporain

Depuis 1994, la communauté afrikaner entretient un rapport ambigu avec ses attributs culturels, utilisés comme alibi par le gouvernement nationaliste‑chrétien pour justifier la suprématie raciale sous l’apartheid. Ils sont aujourd’hui perçus comme déviants et vécus comme des stigmates sociaux. Certains membres de la communauté s’emploient à formuler de vives critiques du passé et à réinventer les cadres patriotiques pour les faire coïncider avec les nouvelles valeurs libérales démocratiques dominantes aujourd’hui.


Volume : 5 | 2022 - S'expatrier
Rubrique : Articles
Publié le : 31 août 2021
Accepté le : 31 août 2021
Soumis le : 31 août 2021
Mots-clés : sosiologie,vaderland,kollektiewe identiteit,stigma,hegemonie,simbole,toesprake,musiek,Suid‑Afrika,Afrikaner,apartheid,emansipasie,antropologie,sociology,Afrikaner,apartheid,identities,hegemony,symboles,culture,discourses,South Africa,stigma,music,sociologie,patrie,identité collective,stigmate,hégémonie,symboles,discours,musique,Afrique du Sud,Afrikaner,apartheid,émancipation,anthropologie,[SHS.ANTHRO-SE]Humanities and Social Sciences/Social Anthropology and ethnology

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